François Braud poursuit ses entretiens avec les auteur·es de polar. Aujourd’hui c’est avec Marion Brunet. © samuel kirszenbaum L’Émancipation : Avez-vous vraiment fait le choix du noir ? Marion Brunet : Mon premier roman identifié en noir, c’est L’été circulaire. Il est né d’une rencontre amicale avec Stéphanie Delestré, qui était éditrice chez Albin Michel à l’époque. On a eu envie de travailler ensemble. Au départ, ce qui m’intéresse c’est l’injustice sociale, la violence et comment elle émerge, comment on l’entretient. La révolte, les personnages cassés, lumineux aussi mais qui évoluent dans les zones où on ne les voit pas.
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