Un lundi soir de bouclage de la revue je me fends de sa relecture intégrale. À plusieurs reprises me vient la réflexion que ce que je lis sonne conspi, idée que je m’empresse de chasser, sachant combien il est périlleux de dénoncer les outrances de pouvoirs toujours plus décomplexés, d’autant plus quand les médias et l’édition sont aux ordres. C’est vrai, nous vivons dans une dystopie. Pour autant, quelles sont nos armes pour être rejoignables ? J’ai le sentiment que ça n’est pas d’asséner in extenso années après années un logiciel daté. Que la tribune qui nous est offerte par
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