Les relations entre hommes et femmes sont depuis des siècles “privatisées”, pas forcément au sens économique mais au sens étymologique : confinées ou ramenées à la sphère privée par opposition à la vie publique. Cette privatisation de l’intime en ce qu’il peut avoir de violent voire de mortel provoque actuellement des révélations publiques en cascade, parfois fracassantes, déclenchées par le mouvement MeToo, et avant lui par le féminisme en général. En ce sens, rendant historique le retentissant procès Pélicot 1. Dénoncer les “libertés” masculines L’expression “Culture du viol” reprise par Christine Bard dans Le Monde 2 fait bondir certains hommes3
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