Émancipation


tendance intersyndicale

Catégorie : Culture

  • Bocca, c’est Diou et puis c’est tout

    Bocca, c’est Diou et puis c’est tout

    “Si Montale et Corbucci avaient eu une fille, c’est à Boccanera qu’elle ressemblerait !” Patrick Raynal a le sens du blurb . Et Michèle Pedinielli de la chance d’être ainsi adoubée par un parrain du noir. Il faut dire que Boccanera, son héroïne, a tout pour séduire. Nous faisons sa connaissance dans le roman éponyme…

  • L’enfer du décor

    François Braud s’est entretenu avec Michèle Pedinielli à propos de ses romans dont Boccanera est l’héroïne. L’Émancipation : À la lecture, Boccanera emporte notre empathie et on a l’impression que sa voix nous parle dans le creux de l’oreille, qu’on la connaît depuis toujours et qu’elle nous fait du bien en nous réconciliant avec l’humanité…

  • Vous n’avez rien contre les jeunes ? : Une école inspirée

    L’art d’apprendre sans en avoir l’air. Limiter à l’objectif le plus bas pour pousser à le dépasser. Voilà un ouvrage fort didactique dont l’école pourrait s’inspirer, et elle le fait, ne me faites pas dire qu’on n’apprend plus rien à l’école ou je vais m’énerver. C’est quoi l’école ? Alors certes, l’école, dans C’est quoi…

  • Aimez-vous toujours ce métier, après toutes ces années ?

    Aujourd’hui, c’est Jean Esch, le grand traducteur de King, Westlake, Connelly, Winslow (voir critique en fin d’interview https://www.emancipation.fr/?page_id=7791), entre autres, qui a gentiment accepté de répondre à quelques questions. Émancipation : Bonjour Jean Esch, comment êtes-vous devenu traducteur ? Pourquoi vous êtes-vous spécialisé dans le “noir” ? Jean Esch : Traducteur est le seul métier…

  • La Cité en flammes

    La Cité en flammes

    Jean Esch est un traducteur, un artisan du livre. Aussi me suis-je plongé dans une de ses dernières créations traductions : City on fire de Don Winslow paru aux Éditions Harper Collins sous le titre de La Cité en flammes.. J’ai découvert Don Winslow il y a peu. J’en avais entendu parler et un bon…

  • Autopsie d’une dystopie, beaucoup de graisse, peu d’organes vitaux

    Autopsie d’une dystopie, beaucoup de graisse, peu d’organes vitaux

    Depuis quelques années, la dystopie, en littérature et au cinéma, fait recette. Un petit peu de réchauffement climatique, de totalitarisme, de réflexion sur l’humain, le tout nimbé de pessimisme métaphysique pour faire sérieux. On mélange et on obtient… Qui après nous vivrez d’Hervé Le Corre. Quatre générations incarnées par quatre femmes, Rebecca, Alice, Nour et…