Le texte ébouriffant de Roland Dubillard sonne étonnamment juste dans notre société au libéralisme effréné soutenu par une technologie invasive qu’il n’aurait pu imaginer. La compétition en tous domaines n’est pas autre chose que se gorger du sang de l’autre après l’avoir abattu. Ce sang prend diverses formes : argent, succès, pouvoir. La fiction fantastique d’une fête dans un étrange château où les invité·es venu·es impatient·es et joyeux/euses passent mystérieusement à la trappe hormis quatre d’entre eux – au moins temporairement – plus un retardataire qui tout naïf qu’il semble, parviendra à désarmer le piège et à en inverser l’effet
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