“L’occupant a bombardé l’école Asmaa où des déplacés avaient trouvé refuge et une clinique de l’UNRWA dans le camp de la plage (Al-Shati) à l’ouest de la ville de Gaza”. Un témoin : “L’occupant exécute un grand nombre d’hommes et de jeunes qui ont été arrêtés dans des refuges dans le nord. Nous recevons des appels de détresse”. “Le bombardement d’un quartier résidentiel a fait 100 mort·es. Il y a des dizaines de disparu·es sous les décombres”. Comment un tel carnage est-il possible ? Sans doute parce que, pour beaucoup d’Occidentaux, la vie des Gazaoui·es compte aussi peu que celle
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