Émancipation


tendance intersyndicale

Catégorie : Culture

  • L’enfer du décor

    François Braud s’est entretenu avec Michèle Pedinielli à propos de ses romans dont Boccanera est l’héroïne. L’Émancipation : À la lecture, Boccanera emporte notre empathie et on a l’impression que sa voix nous parle dans le creux de l’oreille, qu’on la connaît depuis toujours et qu’elle nous fait du bien en nous réconciliant avec l’humanité…

  • Vous n’avez rien contre les jeunes ? : Une école inspirée

    L’art d’apprendre sans en avoir l’air. Limiter à l’objectif le plus bas pour pousser à le dépasser. Voilà un ouvrage fort didactique dont l’école pourrait s’inspirer, et elle le fait, ne me faites pas dire qu’on n’apprend plus rien à l’école ou je vais m’énerver. C’est quoi l’école ? Alors certes, l’école, dans C’est quoi…

  • Autopsie d’une dystopie, beaucoup de graisse, peu d’organes vitaux

    Autopsie d’une dystopie, beaucoup de graisse, peu d’organes vitaux

    Depuis quelques années, la dystopie, en littérature et au cinéma, fait recette. Un petit peu de réchauffement climatique, de totalitarisme, de réflexion sur l’humain, le tout nimbé de pessimisme métaphysique pour faire sérieux. On mélange et on obtient… Qui après nous vivrez d’Hervé Le Corre. Quatre générations incarnées par quatre femmes, Rebecca, Alice, Nour et…

  • Des leçons sans morale

    “Toutes les affaires d’homicides ne sont pas identiques. Certaines te collent à la peau pour toujours. Tu les portes en toi comme des cicatrices” (p.442). Un prologue inquiétant à l’incipit hameçonnant : “Des cinq policiers affectés à l’enquête sur le meurtre de Dolores Murgia, je suis la seule encore en vie”. Qui Parle ? La…

  • La grâce de la tortue

    Le propos de la pièce est sympathique et accordé aux luttes actuelles : il démonte le stéréotype de la beauté féminine et celui de la “réussite”. Et critique un certain fonctionnement de la famille traditionnelle. Le personnage de la mère, grotesque et outrageusement conventionnelle, devient dans la seconde partie celui de la fille, Tita, rebelle…

  • Aimez-vous toujours ce métier, après toutes ces années ?

    Aujourd’hui, c’est Jean Esch, le grand traducteur de King, Westlake, Connelly, Winslow (voir critique en fin d’interview https://www.emancipation.fr/?page_id=7791), entre autres, qui a gentiment accepté de répondre à quelques questions. Émancipation : Bonjour Jean Esch, comment êtes-vous devenu traducteur ? Pourquoi vous êtes-vous spécialisé dans le “noir” ? Jean Esch : Traducteur est le seul métier…