Un article, paru dans L’émancipation d’octobre 2023 (1), posait la question de la fin des Assad. Quatorze mois auront suffi pour que cela se réalise avec fracas. Bachar n’aura pas péri mais fui. Les raisons exposées dans l’article précédant proposaient l’hypothèse de la genèse matricielle de sa chute et de son régime, ainsi que les enjeux politiques et géo-politiques qui se posaient aux différents acteurs alors impliqués dans le conflit. Ce qui advient le 8 décembre 2024, plus que la chute de Bachar al Assad, bouleverse les rapports géostratégiques au Moyen-Orient, telle la chute du mur de Berlin en novembre
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