Trump, Bolsonaro, Milei ou d’autres populistes autoritaires ont donné des idées au président Yoon. Le 3 décembre, il a décrété la loi martiale et envoyé l’armée au parlement pour essayer d’arrêter voire tuer les député·es de l’opposition. Une très importante mobilisation populaire et l’intervention des syndicats qui ont appelé à la grève ont fait échouer le coup d’État. Mais l’apprenti dictateur dispose encore d’une forte base. Avec l’approfondissement de la crise du monde capitaliste, plus aucun pays n’est à l’abri d’un putsch de ce genre.
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