Une grande partie de la population a plongé sous le seuil de pauvreté. On manque de tout, de pain, d’essence, d’électricité, d’hôpitaux. Même les partis communautaires au pouvoir n’arrivent plus à nourrir leurs communautés. Mais ce régime discrédité, alliance de chefs de milices corrompus, tient toujours. Et le FMI continue d’exiger qu’on détruise encore un peu plus ce qui reste de services publics.