Je est un autre

Au moment où se multiplient les révélations sur les agissements criminels d’artistes en vue, on s’interroge toujours sur le statut de l’œuvre. Est-elle indépendante de son créateur/trice ? Quelle part de responsabilité est la nôtre quand on s’accommode du pire au nom de l’art ? Plus un choix, une obligation ? Dissocier l’homme de l’artiste ne semble plus un choix mais une obligation si on veut encore lire, regarder des tableaux, des films, écouter de la musique. J’apprends par cœur des phrases de Voyage au bout de la nuit à 15 ans et découvre à 20 que Céline était un

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