Malgré la corruption, malgré l’état du réseau ferré, malgré le développement de la répression et les attaques contre les journalistes, la droite est largement en tête et devrait bientôt avoir les pleins pouvoirs. Syriza qui a capitulé face à l’Europe libérale contre la volonté du peuple grec est tombé à 20 % des voix et n’est plus une alternative. Les clientélistes “de gauche” du PASOK (le parti “socialiste”) remontent à 12 %.