Après les élections municipales et régionales où la droite avait triomphé, les sondages annonçaient un raz-de-marée de l’alliance des néo-franquistes mous et des néo-franquistes durs (le parti Vox, ouvertement xénophobe). Le pari du Premier ministre sortant, le social-démocrate Pedro Sanchez (des élections anticipées) a failli réussir. Les électeur·trices centristes ont eu peur de Vox et personne n’a la majorité. L’Euzkadi et la Catalogne ont massivement dit non à la droite et les élu·es de ces deux régions vont peut-être, contraint·es et forcé·es, se rallier à Pedro Sanchez. En Catalogne, une grosse partie du vote indépendantiste est directement passée au PSOE.
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