Drôle d’impression à la lecture du numéro de juin. Six mois de mouvement social intense contre la retraire à 64 ans, et puis on passe à autre chose, comme s’il ne fallait pas évoquer l’échec face au pouvoir de Macron. Certes, le pays a démontré sa large capacité de mobilisation (salarié·es mais aussi jeunes et retraité·es), dans la durée, et parfois son inventivité (retraites aux flambeaux, manifs de nuit) dans la contestation. Macron et son gouvernement ont été mis en minorité, les critiques ont fusé de toutes parts, Europe, ONU… il n’en a cure, ce groupuscule qui tient les rênes,
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