Avec le développement du Service national Universel et des classes de défense, le gouvernement veut assujettir les élèves et les enseignant·es à la politique de militarisation de la société. Lorsque le 28 mai 1996, Chirac décide la suspension du service national obligatoire, il s’agissait pour l’État de concentrer ses forces et ses ressources sur le renforcement de l’armée de métier plus efficace. Ces choix ont révélé différents problèmes du point de vue des gouvernements : – l’insuffisance du recrutement professionnel de “qualité” (et des non-renouvellements de contrats ou des démissions jugées trop nombreuses) ; – le désintérêt voire le rejet
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