Un à un, les bastions de la Françafrique cèdent. Quand ce n’est pas par un coup d’État militaire (Mali, Niger, Burkina, Gabon), c’est par les élections. L’ancien président Macky Sall a cédé aux manifestant·es et a laissé les élections sénégalaises se faire. Le résultat a été sans appel. L’opposition l’emporte dès le premier tour et (fait exceptionnel en Afrique), le résultat n’est pas contesté. Les derniers fleurons de la Françafrique se savent en sursis et ce ne sont pas les dernières contorsions de Macron, reconnaissant la responsabilité française dans le génocide rwandais puis revenant sur ses déclarations qui vont améliorer
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