Giorgio Armani a amassé des milliards avec sa maroquinerie de luxe. On vient de découvrir qu’il employait de nombreux travailleur·euses clandestin·es chinois·es sous-payé·es et logé·es dans des conditions dégradantes. On touche là une des contradictions du gouvernement de Giorgia Meloni. Elle est arrivée au pouvoir sur un programme ouvertement xénophobe. Mais elle fait tout pour brouiller les accusations contre elle. Elle attaque en diffamation l’historien communiste Luciano Canfora qui l’a traitée de “néonazie dans l’âme”. Mais Meloni a un double discours sur l’immigration. La situation démographique de l’Italie et la voracité des grands patrons italiens l’obligent à fermer les yeux
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