Les bruits de bottes et les discours nationalistes chinois n’auront pas eu d’effet sur les électeurs et électrices taïwanais·es. Le parti “indépendantiste” conserve la présidence tout en perdant la majorité absolue au parlement. Ce qui se passe à Hong-Kong a joué un rôle : malgré toutes les promesses faites au moment de la restitution de cette colonie à la Chine en 1999, l’opposition est bâillonnée et emprisonnée.