Émancipation
tendance intersyndicale
Catégorie : Culture
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Faire porter son regard là où le regard ne porte pas
Humeurs noires Tout est affaire, non pas de décor, mais de la façon dont on porte le regard : “Je repensai aux coques du port de mon enfance : la Suzanna, l’Amandine, La Louisette… toujours des noms féminins. À moins que ce ne soient les femmes qui portent des noms de bateaux. Beaucoup d’entre elles,…
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Santé au travail et luttes de classes
Le contrôle de la santé et de la sécurité des conditions de travail est un enjeu depuis le XIXe siècle. Des règles avaient progressé, inséparables du développement de l’implantation de délégué·es du personnel. La loi de 2016 y porte un coup très grave. Le livre nous offre un tableau des principaux risques : souffrances psychiques, troubles…
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Guadeloupe Mai 67
En mai 1967 en Guadeloupe, un mouvement de grève est réprimé dans le sang par les forces de l’ordre françaises. Elles ouvrent le feu sur la foule en ciblant des militant·es du mouvement anticolonialiste et syndicaliste. Le préfet de Guadeloupe alors en poste est Pierre Bolotte, ancien haut fonctionnaire en Algérie, futur préfet de Seine-Saint-Denis…
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Oranges amères
Le destin des migrant·es africain·es qui perdent la vie en tentant de gagner l’Europe à bord d’embarcations qui chavirent est tragique. Mais le sort qui attend celles et ceux qui parviennent sur les côtes est terrible comme le montre ce livre, issu d’une longue enquête menée à Rosarno en Calabre et sur l’île de Lampedusa.…
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L’écoféminisme
Écoféminisme : le mot, assez récent en France, suscite désormais grand intérêt mais est aussi objet de critiques tant du côté de certains écologistes qui ne voient pas pourquoi les femmes seraient plus portées à s’occuper d’une écologie qui est l’affaire de tout·es que de certaines féministes qui s’inquiètent de l’amalgame femmes-nature, et du risque…
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Humeurs noires : Faire porter son regard là où le regard ne porte pas
Tout est affaire, non pas de décor, mais de la façon dont on porte le regard : “Je repensai aux coques du port de mon enfance : la Suzanna, l’Amandine, La Louisette… toujours des noms féminins. À moins que ce ne soient les femmes qui portent des noms de bateaux. Beaucoup d’entre elles, en tout…