Émancipation


tendance intersyndicale

Catégorie : Librairie

  • L’échec et le réel

    Le numéro 52 de Réfractions, nous invite à une large réflexion sur les liens entre anarchisme et échec. R. Creagh, dans son article “La pesanteur sociale et les ailes de l’utopie”, publié pour la première fois en 1994, analyse les échecs des communautés libertaires utopiques du XIXe siècle. A. Lucet revient sur “le double échec”…

  • La Guerre des mots ?

    Parlez-vous le bourgeois? Que c’est bon de lire un essai préfacé par Michel et Monique (Pinçon-Charlot) en 2020, écrit par Selim Derkaoui et Nicolas Framont, réédité en poche en 2023, conseillé par Le Monde diplomatique, qui donne l’impression à chaque page d’avoir raison. Le pitch Avoir raison ? C’est précisément là que tout se complique.…

  • Notre librairie (juin 2023)

    Santé au travail et luttes de classes Le contrôle de la santé et de la sécurité des conditions de travail est un enjeu depuis le XIXe siècle. Des règles avaient progressé, inséparables du développement de l’implantation de délégué·es du personnel. La loi de 2016 y porte un coup très grave. Le livre nous offre un…

  • 1000 signes, pas plus, pas moins (titre et signature exclus)

    Infiniment petit ou grand Jacques Higelin, lui, n’était qu’un grain de poussière (1), Galia Tapiero et Marion Brand, elles, ne sont qu’un tout petit grain de sable. La montagne est immense, immobile. Le grain de sable infiniment petit, roulant dans la main. Entre les deux le périple est étonnant, les dangers menaçants et le rocher…

  • Je peux la taper…

    “L’enfance est politique bien sûr et la soumission des enfants à la domination des adultes est très peu interrogée. Et pourtant, il est urgent de changer notre regard sur l’enfance et de donner aux enfants les moyens de s’émanciper de cette domination adulte ”. Voilà la dédicace que notre camarade Jean-Pierre Thielland a écrit sur…

  • Faire porter son regard là où le regard ne porte pas

    Humeurs noires Tout est affaire, non pas de décor, mais de la façon dont on porte le regard : “Je repensai aux coques du port de mon enfance : la Suzanna, l’Amandine, La Louisette… toujours des noms féminins. À moins que ce ne soient les femmes qui portent des noms de bateaux. Beaucoup d’entre elles,…