Pas un réfugié ou une réfugiée de quel pays que ce soit qui, cramponné·e à son smartphone, ne communique par programme de traduction interposé. La machine sort dans les plus brefs délais une traduction écrite ou orale dans la langue souhaitée. Je viens à peine d’entrer au foyer de réfugié·es de Lich que déjà des smartphones sont brandis dans ma direction. Une femme originaire de Géorgie est plus rapide que les autres, elle me met sous le nez le texte suivant : “Je voudrais coucher avec le docteur”. Elle voit à ma tête que ça ne doit pas être très
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