L’opposition à Milei se structure. Il y a le mouvement syndical qui s’oppose à une destruction du droit du travail et à des privatisations massives, y compris l’éducation. Une première grève générale a eu lieu, il y en aura d’autres. Il y a les femmes. Le droit à l’avortement est menacé et Milei ne cache pas un modèle social où la seule place des femmes est à la maison. Il y a toutes celles et ceux qui reçoivent quelque chose de l’État : précaires, chômeur/euses, associations… Mais même au Parlement, Milei n’est pas majoritaire et ses mesures sont rejetées. Il a l’intention de gouverner par décrets