À peine élu, Milei passe à l’offensive : dévaluation de 50 % du peso, suppression de la moitié des ministères, gel de tous les investissements publics, ce qui va mettre à la rue 250 000 travailleur·euses. Et comme les syndicats appellent à riposter, interdiction des manifestations. Ce n’est pas seulement en parole que le pays revient aux pires heures de la dictature.