Conquise par les milices de Daesh puis par le Général Haftar, la ville de Derna a été laissée à l’abandon. Il n’y avait plus aucun service public et les deux barrages qui dominaient la ville n’étaient plus ni surveillés, ni entretenus. Un service de météorologie avait bien annoncé des précipitations exceptionnelles mais, dans un pays qui a deux gouvernements rivaux, l’information n’était pas arrivée. Le pays n’en finit pas de souffrir des conséquences de l’invasion occidentale.
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