Après avoir expliqué comment l’appropriation de la terre a joué un rôle central dans l’émergence du capitalisme et dans sa perpétuation, ce livre traite des mouvements sociaux qui s’inspirent des théories des communs : l’acquisition et la gestion collectives de terres pour y déployer des alternatives à l’agriculture industrielle, les luttes d’occupation de terres et de désobéissance civile. De manière plus méconnue, la tradition juridique de la régulation foncière agricole française a créé des mécanismes non marchands de distribution de la terre, qui pourraient aussi être une piste pour éroder fortement la propriété privée et dépasser le capitalisme. L’ouvrage se
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