Un échec suppose que, comme devant un cheval élancé, un obstacle s’interpose dont on avait mal mesuré l’ampleur, la hauteur et la largeur, on renonce à sauter au dernier moment, en l’ultime seconde de conscience ou bien on tente le coup et on tombe à la renverse, déséquilibré·e. Dans le meilleur cas de figure, on se relève, prêt à affronter encore la barrière ou le mur avec le risque de s’y cogner de nouveau ; mais on l’examine, tentant sans renoncer une autre forme de “saut-assaut”, latéral, circulaire, avec davantage de recul etc. etc. On ne se sent pas vaincu
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