C’est de l’eau

Cet opuscule, qui se grime d’abord en parabole, est la retranscription d’une allocution que l’auteur de l’Infinie Comédie a donnée en 2005 à l’occasion de la remise des diplômes d’étudiant·es en humanités. Ce développement sinueux et rythmé, qui se lit comme un poème, déroule l’ode à un altruisme d’après lequel le souci de l’autre et d’abord des caissières serait la condition d’une vie qui mérite d’être vécue. Un anti-Hobbes qui redonne du souffle. “C’est là, selon moi, la liberté qu’apporte la véritable éducation, l’apprentissage de la bonne adaptation : c’est à vous de décider en toute conscience de ce qui

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