La junte militaire a feint un moment de céder face à la colère populaire, mais ça n’a pas duré. L’ancien Premier ministre, brièvement remis à son poste, a démissionné.
La colère de la rue ne se dément pas. Malgré les mort·es, les blessé·es, les arrestations, les manifestations sont quotidiennes et les forces politiques qui ont permis de renverser la dictature de Béchir sont toujours actives.