Qui aurait cru qu’une guerre avec ses bombardements massifs et ses populations écrasées sous les bombes serait possible en Europe ? Comme en Afghanistan autrefois, l’Occident ne combat pas directement, mais envoie les armes les plus sophistiquées à l’armée ukrainienne. La destruction du croiseur Moskva, coulé le 13 avril par des missiles, en est la preuve. On connaît le résultat tragique des armes déversées en Afghanistan ou en Irak. Derrière la défaite plus que souhaitable de l’armée russe, le pire est à prévoir : une Europe totalement “Otanisée” et des armes de haute technologie dans les mains de groupes (comme le régiment Azov) dont le comportement et les valeurs font peur.